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Rencontre : Adrien Devyver, nous emmène grimper en Ardenne

Admirer la vue mais pas que… Au départ du Tombeau du Géant, l’un des plus beaux points de vue sur la Semois, l’animateur casse-cou et tout-terrain nous emmène avec son VTT pour une escapade (très) sportive de 50 kilomètres.

Adrien depuis un petit temps, vous vous adonnez à de longues sorties VTT en groupe. Vous avez troqué votre VTT classique contre un électrique ?

Non, j’ai les deux. Je prends l’électrique pour des sorties en Ardenne ou à la montagne, là où il y a de belles pentes, de beaux reliefs. Et j’utilise mon « musculaire » pour faire des promenades dans mon coin, en Brabant wallon. D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours fait du VTT. Petit, je me déplaçais toujours à vélo, il n’y avait pas d’autre transport dans mon village. Je fonctionne par vague dans le sport: je pratique un sport de manière intense durant 6 ou 7 mois puis je ralentis. Mais le VTT est toujours resté un truc de fond, c’est toute saison et pas besoin de partenaire. En plus, c’est accessible comme sport, un VTT « classique » n’est pas cher.

L’électrique, c’est un autre sport, mais ce n’est certainement pas un sport de fainéant !

Ces longues sorties cabossées en VTT électrique que vous affectionnez, comme ici le long de la Semois, elles vous procurent quelles sensations ?

J’aime la descente bien sûr mais j’aime aussi, comme on fait régulièrement ces sorties en groupe de 4, 5 potes, le fait qu’on se mette en compétition. Et le vélo électrique te permet autre chose : de prendre d’autres chemins, de t’écarter quitte à rouler plus, ce que tu ne ferais pas avec un VTT normal, par peur de devoir encore trop grimper. Le tout aussi est de pouvoir doser sa batterie. Et entre potes, ça ajoute un peu de compèt’ : à la fin du parcours, on demande aux uns et aux autres combien il leur reste d’autonomie. L’électrique, c’est un autre sport, mais ce n’est certainement pas un sport de fainéant !

Comment y êtes-vous venu au vélo électrique ?

Pendant le confinement. Comme c’était à peu près l’un des seuls sports qu’on pouvait pratiquer… J’ai d’abord acheté un vélo avec assistance avec un siège à l’arrière pour mon fils. J’ai tellement adoré que j’ai voulu aussi un VTT électrique, pour pouvoir faire des sorties de 5 ou 6 heures. Mes potes en ont loué un, et c’était parti !

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Faire des sorties de 5 heures dans des sentiers parfois dangereux et grimper, ce n’est pas donné à tout le monde. On s’y prépare ?

Oui, je regarde beaucoup de vidéos de « pros ». Et dans mon groupe, j’ai un pote assez casse-cou mais qui a un excellent sens de la trajectoire. Donc, j’écoute ses conseils. Et je suis bien équipé aussi, j’ai un vélo avec une roue avant plus grande et une selle télescopique qui s’abaisse dans les descentes pour plus de stabilité.

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