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Rapports sexuels : la face cachée des Jeux Olympiques

  Cette année les Jeux Olympiques de Tokyo c’est l’occasion pour les fans de sport, et les autres aussi, d’admirer des athlètes de haut niveau dans une diversité de disciplines sportives. Cependant, il s’est avéré que les Jeux Olympiques, quand ils pouvaient accueillir du public, sont aussi connus pour être des lieux de rencontre et peut-être même plus… Selon des témoignages de sportifs, les relations sexuelles seraient aussi partie intégrante de cet évènement.

Le duo sport et sexe serait un combo gagnant quant aux effets sur les performances des athlètes. Ceux-ci sont jeunes, ont une hygiène de vie irréprochable voire même draconienne tout au long de l’année et cela explique qu’à la fin des épreuves : ils ont besoin de relâcher la pression comme le ferait n’importe quel jeune de leur âge.

 

Abstinence et réussite sportive

Il paraitrait que l’abstinence est un gage de réussite chez certains sportifs car cela les mettrait dans une dynamique de frustration et ils seraient plus agressifs dans leurs épreuves sportives. Une philosophie que le roi de la boxe, Mohammed Ali, appliquait à la lettre : il affirmait ne pas avoir de relations sexuelles six à huit semaines avant chaque combat afin de maximiser ses performances.

 

L’acte sexuel : positif pour un sportif ?

Pourtant faire l’amour serait très peu énergivore et c’est une assez bonne nouvelle pour les athlètes olympiques, explique la médecin de la fédération française d’athlétisme Marine Mélia Agbojan pour le magazine ELLE. Les hormones libérées pendant l’acte auraient même un effet bénéfique puisqu’elles favorisent le sommeil et réduisent l’anxiété. Pour les athlètes, les endorphines vont contribuer à diminuer la douleur un peu comme le ferait la morphine et ce pour une durée de 24h après l’effort.

 

Le buzz des lits "anti-sexe"

Le sexe et l’activité sportive est donc une question qui se repose tous les quatre ans et qu’on n’oublie pas. Elle peut même provoquer des « buzz » sur la toile comme ce fut le cas cette année lorsque le coureur de fond américain, Paul Chemilo, a sous-entendu que leurs lits n’étaient pas optimales pour les folles nuits d’amour en raison de leur faible résistance. « Incapables de supporter plus d’une personne ». Un tweet rapidement démenti par l’un de ses confrères irlandais qui n’a pas hésité à sauter dessus pour prouver le contraire.

 

 

Nous ne pouvons que souhaiter de belles performances aux athlètes cette année, quelles qu’elles soient

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