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Insolite : les bijoux de cette créatrice belge sont en réalité… des accessoires érotiques !

Pour défier votre sensualité, le label belge Juliette Leone offre une nouvelle catégorie de bijoux érotiques et unisexes.

«J’aime j’aime tes yeux, j’aime ton odeur, tous tes gestes en douceur, lentement dirigés. Sensualité», chantait Axelle Red. Grâce à Juliette HuercanoHidalgo, fondatrice et directrice artistique du label belge Juliette Leone, il existe désormais différentes façons d’explorer vos sens, et ce, grâce à des pièces haut de gamme, entre bijoux et objets érotiques, qui permettront d’accentuer votre sensualité. «Je ne me considère pas comme une experte en sexualité ou en érotisme. Mon objectif est d’inviter les curieux à vivre une expérience sensorielle unique, avec une petite touche de surréalisme. J’ai un besoin constant de questionner notre rapport au corps et à l’amour. J’aime bousculer les règles», assure la jeune femme, designer et architecte d’intérieur de formation, qui a réalisé ses études à la Cambre, à Bruxelles.

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Juliette Huercano-Hidalgo - Créatrice de Juliette Leone

Dévoilée récemment, la première collection de Juliette Leone compte cinq objets dont l’objectif est de reconnecter «chaque personne à son moi érotique intérieur». Parmi eux, une parure en argent conçue avec des perles de nacre. «En plus de briller, ces perles vont surtout s’onduler sur le corps et provoquer quelques sensations. C’est un objet qui permet de se sentir assez audacieux et fort. Cette parure est unisexe et s’adapte à toutes les morphologies. Elle peut se porter sur un corps nu ou avec un vêtement», nous explique la créatrice.

Le frisson de l’argent

On note également trois autres pièces, intitulées «Poignée d’amour», entièrement constituées en argent et en cuir. «L’idée est d’explorer le toucher au maximum. Ces objets permettent de caresser et de fouetter la peau. On peut aussi s’y agripper. Une multitude de manipulations sont possibles. L’argent étant une matière froide au premier contact, elle va provoquer des frissons sur la peau avant de se réchauffer. Ce contraste de température est très intéressant».

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Une «Poignée d’amour» qui se partage.

Sans oublier le «Palazzo», un paravent fabriqué avec du cuir italien vert foncé et un voile vaporeux, vendu au prix de… 6.700 euros. «Le contraste entre les deux matières est très intense. En plus de dégager une forte odeur, le cuir est une matière rigide qui va se patiner et raconter une histoire au fil de son utilisation.

Translucide, le voile offre également un jeu de voyeurisme très agréable», nous explique Juliette qui revendique un processus de création respectueux de l’environnement. Chaque objet est fabriqué à la main, à Bruxelles, par des artisans qualifiés et avec des matériaux européens de haute qualité.

«Nous ne produisons chaque produit qu’après réception d’une commande d’un client. Mon objectif n’est pas de surproduire, je fonctionne donc uniquement à la demande. En plus d’utiliser des emballages durables, nous utilisons également des déchets de nos matières premières pour recréer certaines parties de nos emballages», conclut la créatrice qui s’apprête à dévoiler une collection de textile dans les prochains mois et envisage de collaborer avec des architectes afin de valoriser ses objets au sein d’établissements hôteliers.

Plus d’infos : https://www.julietteleonelabel.com/

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