Le DJ belge à la tête de singe a été choisi par le groupe Steveny, concessionnaire automobile depuis 50 ans, pour le tournage de plusieurs capsules vidéos à l’occasion du lancement de la Mustang Mach E 100% électrique.
En exclusivité, Kid Noize se confie sur sa passion pour les voitures et nous raconte l’achat de sa propre Mustang.
Pourquoi avez-vous accepté cette collaboration avec le groupe Steveny ?
J’ai participé à ce tournage en tant que fan inconditionnel de Mustang. Je ne suis pas un expert en mécanique, mais j’ai toujours été fasciné par les bagnoles. Grâce à Steveny, j’ai la chance d’avoir accès aux dernières sorties, comme la Mustang Mach E 100% électrique qui revêt d’un design un peu futuriste. J’ai également eu un coup de cœur pour la Mustang VI Bullitt 2018. Visuellement, elle envoie vraiment du lourd. Les constructeurs sont parvenus à conserver cette ligne de l’époque, tout en ajoutant de la modernité. Quand on l’entend démarrer, la sensation est incroyable. J’ai hâte de l’essayer sur un circuit.
Qu’est-ce qui vous fascine le plus chez une Mustang ?
Son allure! Elle a quelque chose en plus, comme un supplément d’âme. Il y a un côté vintage et rock’n’roll que j’aime beaucoup. Et puis, la Mustang s’accorde parfaitement à la vie de tous les jours. On peut la conduire à n’importe quel moment de la journée. Elle est indémodable. C’est avec ce genre de voiture que je jouais quand j’étais petit. Du coup, je me sens plus à l’aise au volant d’une Mustang que d’une Porsche ou d’une Ferrari, même si ce sont de très beaux modèles.
Concrètement, d’où vous vient cette passion pour l’automobile ?
Je ne sais pas vraiment. Je crois que cela fait partie de l’imaginaire collectif, notamment grâce à des films où la voiture possède une place aussi forte que l’un des acteurs. Je pense à «Retour dans le futur», «K 2000», «Christine»… Des grands classiques !
Vous possédez votre propre Mustang ?
Oui ! C’est un rêve devenu réalité. Je l’ai achetée il y a quelques années. Elle était stationnée le long d’une route, et elle m’a directement tapé dans l’œil. C’était un vieux modèle de 1977. Tout le monde me disait de ne pas l’acheter, mais je n’ai pas pu résister. Elle était à vendre pour 4.000 euros, et je suis parvenu à l’avoir pour 2.000 euros. En dessous de ce prix-là, le gars m’a dit qu’il préférait la brûler. (Rires) J’ai fait une belle affaire! Après ça, plusieurs garagistes m’ont aidé à la retaper. Je ne m’en lasse pas.
La voiture est comme l’extension
de notre habitat
À quel âge avez-vous eu votre permis de conduire ?
J’ai un peu traîné sur le théorique, mais je l’ai décroché à 18 ans. Comme j’habitais en plein centre de Bruxelles, je me suis toujours senti très libre. Je n’avais pas forcément besoin d’une voiture, mais je voulais tout de même gagner en indépendance. Et puis, c’est toujours plus sympa quand on propose à une fille de venir la chercher en voiture plutôt que de lui donner rendez-vous au métro. (Rires) On dit souvent que la voiture est comme l’extension de son habitat. Quand on est jeune, c’est même plus que ça. Elle devient notre maison !
L’an dernier, vous aviez ouvert votre propre magasin de vélos électriques customisés, à Liège. Comment expliquez-vous l’engouement des consommateurs pour les véhicules à assistance électrique ?
C’est à la fois puissant et confortable. C’est une autre façon de conduire, il faut le vivre pour le comprendre. Il y a aussi un aspect écologique qui entre en compte. Même si les montants sont assez conséquents, ils sont totalement justifiés. C’est le prix de la nouvelle technologie, et il faut l’accepter. Personnellement, c’est grâce à la Ford Kuga Hybrid que je me suis habitué à la conduite électrique. J’ai adoré l’expérience. C’est important de se faire plaisir et de privilégier son confort.
On connaît votre intérêt pour la musique, la bande dessinée et l’automobile. Avez-vous une autre passion secrète ?
J’ai toujours été fan des brocantes. Je collectionne aussi tous les jouets de mon enfance, comme les figurines G.I. Joe ou les Playmobil. Je les expose chez moi, dans une pièce où mes trésors sont rangés dans une bibliothèque. Personne ne peut y toucher ! (rires)
Vous avez récemment publié le single «Monster Next Door» avec Gio Kemper. À quand la sortie d’un nouvel album ?
Je suis en pleine préparation d’un disque qui devrait sortir l’année prochaine. Il y aura également le nouvel album de ma bande dessinée qui clôturera la première trilogie de l’histoire de Kid Noize. Rassurez-vous, ce n’est pas la fin de mon personnage pour autant. Kid Noize ne cessera jamais d’évoluer !