Diane Kruger se confie : « J’ai l’impression que dans certaines scènes je suis à poil, que je me dévoile »

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Jeune, il lui fallait être un «bon petit soldat». Ensuite, mannequin, on lui a imposé une certaine quête de perfection physique. Ce n’est qu’une fois devenue actrice que l’internationale Diane Kruger –oui, parfaitement belle et brillante à la fois - a enfin pu montrer ses failles, nous confie-t-elle à l’heure de la sortie de son nouveau film, «Visions».

Diane, «Visions» est un film de peu de mots. Est-ce qu’on peut raconter bien plus à travers un regard, à travers le silence, qu’en paroles?

Oui, mais c’est aussi un film de metteur en scène et, ici, c’est la caméra qui raconte beaucoup. En fait, il faut doser quand il n’y a pas trop de mots…

C’est plus difficile?

C’est un autre travail. Il faut être bien dans son corps, ne pas avoir peur d’être seule. Parce que c’est rare de se retrouver vraiment seule devant la caméra et là, c’était des semaines et des semaines, parfois en maillot de bain. Il faut être bien centrée.

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