Les acteurs nous parlent de la fin de « Plus belle la vie » : « La star, c’est le feuilleton »

Épisode 4665, épilogue. Baisser de rideau sur la place du Mistral, dernier «on n’est vraiment rien sans elle».

Ce 18 novembre, «Plus belle la vie» tire sa révérence et cela valait bien la peine qu’on s’attarde sur le phénomène de société qu’elle est devenue. Ceux et celles qui ont écrit son histoire nous la racontent, du début à sa fin, 18 ans plus tard. 

Il restera quoi de «Plus belle... »?

Sylvie Flepp (Mirta): 18 ans, c’est extraordinaire tout de même, même si ça se finit en eau de boudin! Je suis venue à Marseille pour six mois, un an, et je suis restée 18 ans! Jouer, quand ce n’est pas toujours la même chose, c’est bien quoi! «Plus belle la vie», c’était un gros cargo qui tanguait de temps en temps mais il y avait quand même une unité. Je suis fière quand j’entends les gens parler de nous comme un phénomène de société.

Anne Décis (Luna): Ce qui fait que l’histoire d’amour est si fusionnelle entre le public et nos personnages, c’est qu’on leur parlait d’eux, de ce qu’ils traversaient toute la journée.

Annie Grégorio (Claire): La star, c’est le feuilleton. Sur «Plus belle la vie» personne ne se la joue, c’est interdit! Ici, c’est un exercice d’humilité.

Joakim Latzko (Gabriel): C’est la série quotidienne qui aura duré le plus longtemps. Un exploit!

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